LE PROJET DE SURVEILLANCE RADAR DES AVIONS EN VOL DANS LE CIEL DE FRANCE[DE LAURENT DUVAL (REPAS UFO DE RENNES) PREND UNE ENVERGURE
INTERNATIONALE
Le projet de Laurent Duval de suivre les avions en vol, afin d'éviter qu'ils soient
pris pour des ovnis, s'amplifie et prend des proportions inattendues. La portée
de ces radars étant de quelques centaines de kilomètres (voir nos précédents
articles), il faut donc plusieurs stations pour couvrir la France. C'est en
bonne voie, déjà les régions de Brest, Nantes, Paris, Orléans, Marseille,
Rennes, Bordeaux sont couvertes soit la presque totalité du territoire Français.
De plus, des stations dans le monde viennent compléter la couverture et ce dans
d'autres pays, ce qui n'était pas programmé lors du lancement du projet.
(Sao-Paulo - Manchester). Les radios amateurs et autres personnes passionnées par la localisation des avions discutent du projet et certains le rejoignent. Laurent Duval a créé avec cette idée, utile pour les ufologues, une synergie qui dépasse ses espoirs. Des chercheurs aussi bien dans le domaine ovni que dans d'autres secteurs l'appel des États Unis et d'autres pays afin de lui demander des conseils et envisager la reproduction de son travail à l'échelon de leur pays. L'objectif principal est toujours de trouver l'outil qui va permettre en quelques secondes d'identifier l'OVNI. Le réseau de radar virtuel que met en
place Laurent Duval répond à cette question. En direct sur Internet, que son radar ainsi que ceux de son réseau, vous indiquent en temps réel la position de la majorité des avions dans le ciel. Il est alors facile de vérifier si l'ovni en question n'est pas seulement un avion. Cela marche, des cas ont déjà ainsi
étés identifiés ces dernières semaines. Spécialiste en informatique, Laurent Duval à donc mis en place une structure qui permet à tous les ufologues et lecteurs du site: http://www.radarvirtuel.com/
d'avoir les informations attendues en temps presque réel. Son radar est relié à des ordinateurs et les informations sont stockées sur ses serveurs, afin d'être exploitable dans l'avenir, pour ceux qui recherchent la position d'un avion, à
un moment donné ou tout simplement pour vérifier si tel jour à telle heure il n'y avait pas un avion à cet endroit.
Le projet est donc largement développé, il fonctionne, mais il reste encore du travail.